Hommage à Alain Bashung

Décidément les retour de vacabces seront toujours affligeants, Qui donc exhortera désormais Joséphine à toutes les audaces?

ben pas moi, hein!

mais pourtant parce que toutres les audaces je m'y exhorte moi-même alors plus d'énergie pour exhorter autrui!

heu, merci Claude pour tes "références"

J’aurais ici deux sœurs que j’aime tendrement : l’une au doigts de rose, a souvent les fesses rouges. Elle écrit bien et, servie par une âme latine, donne en partage ses excédents de bonheurs et sa plénitude, comme ses coups de cœur. L’autre, c’est toi : Tu es son contraire-pareil : tes déchirures vibrent à l’unisson et, en complément du langage, laissent un peu moins seul. Tes débordements d’amour, je souhaiterais qu’ils vinssent d’une autre, et autrement colorés. J’en veux bien sûr, même venant d’une sœur dont la vie réelle m’aura privé., mais qui laisse en s’y épuisant quand même l’illusion d’être aimé autrement.
Le mal court, Monsieur Audiberti, mais le bien aussi .
Merci
Nous sommes trop loin et trop loin et surtout trop loin, j’aurais ici deux sœurs que j’aime tendrement et qui ne devraient ni m’entendre ni m’écouter car la vie s’écoule devant l’écran, pas derrière lui.
...longtemps après que les poétes aient disparu....